• Nos étoiles contraires, John Green      

     

     

     

           

     

     

     

    Quatrième de couverture: Hazel, 16 ans, est atteinte d’un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l’évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades. C’est là qu’elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature.
    Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate. Et malgré les réticences d’Hazel, qui a peur de s’impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d’amour commence… les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.

     

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  • "– Je suis amoureux de toi, a-t-il dit à mi-voix.

    – Augustus.

    – C'est vrai, a-t-il dit en me regardant, et j'ai vu ses yeux se plisser. Je suis amoureux de toi et je ne suis pas du genre à me refuser le plaisir de dire des choses vraies. Je suis amoureux de toi et je sais que l'amour n'est qu'un cri dans le vide, que l'oubli est inévitable, que nous sommes tous condamnés, qu'un jour viendra où tout ce qu'on a fait retournera à la poussière, je sais aussi que le soleil avalera la seule terre que nous aurons jamais et je suis amoureux de toi."

     

    Augustus et Hazel, John Green, Nos étoiles contraires

    (Page 94)


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  • "– Je peux te revoir ? a-t-il demandé d'un ton qui trahissait une inquiétude charmante.

    J'ai souri.

    – Bien sûr.

    – Demain ?

    – Attention, ai-je rétorqué. Tu risques de passer pour un impatient.

    – C'est pour ça que j'ai dit demain, a-t-il répliqué. J'ai déjà envie de te revoir maintenant. Mais je vais m'obliger à attendre toute la nuit et une bonne partie de la journée de demain."

     

    Augustus et Hazel, John Green, Nos étoiles contraires

    (Page 26)


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  • "– Aujourd'hui, je n'arrêtais pas de lui répéter "toujours" et elle me coupait chaque fois la parole sans répondre "toujours". Comme si je n'étais déjà plus là. "Toujours", c'était une promesse ! On n'a pas le droit de briser une promesse.

    – Parfois les gens ne comprennent pas les promesses qu'ils font au moment où ils les font, ai-je remarqué."

    Isaac et Hazel, John Green, Nos étoiles contraires

    (Page 41)


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  •             J’avais neuf ans quand on m’avait offert mon premier journal intime. C’était un petit carnet à la couverture rouge et douce, avec en haut au centre, écrits en lettres dorées, deux petits mots qui me faisaient rêver : « Journal Intime ».

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